- Le droit d’auteur « à la française »
- La gestion collective des droits d’auteur
- L’exemple de la Scam (société civile des auteurs multimédia)
Les chaînes de télévision, les salles de cinéma, les librairies, les bibliothèques, les disquaires, les plate-formes de musique, les stations-service, les ascenseurs, ont un point commun : leur activité dépend ou utilise le travail de personnes appelées auteurs et autrices. En effet, ce sont leurs œuvres qui permettent ici la diffusion de films, la vente de livres, la diffusion de musique. Et ces œuvres, fruits de leur travail, font l'objet de rémunération, appelée droits d’auteur et d'autrice...
Est-ce que tous les pays où circulent des œuvres comparables gèrent le droit d’auteur de la même manière ? Non et il y a des différences notables.
Geneviève Guillaume-Guicheney, journaliste, ancien membre du Conseil supérieur de l’audiovisuel (1989-1998), administratrice de la Scam (2015-2023), présidente de la commission audiovisuelle de la Scam (2021-2023)
Guillaume Thoulon, responsable juridique du Répertoire audiovisuel et des nouveaux medias à la Scam.